vendredi

Natachattons, aristochasseurs





Ils se chamaillent sans arrêt, ils rient ensemble,
jouent et grandissent.
eux sont timides, elles terribles : ils se ressemblent,
pourtant, les quatre métisses.

Ils portent tous ta crinière,...observe-les ma belle,
jouer les jeunes tigrons si fiers, auxquels
nous avons tant donné.

Leurs yeux si profonds, débordent de tendresse,
quand leurs cris brouillons te font rugir ma tigresse,
"Natachattons : assez joué !"

Alors à six, dans une discipline de fer,
la troupe autour de nous deux se resserre :
Dans le bonheur, face aux dangers,
aristochassons en famille, aimons-nous soudés.