Je voudrais te donner, ce que j'ai de plus cher, me tenir à tes côtés, te quérir aux Enfers, Belle Eurydice guide-moi, car j'ai peur de demain : que me vaudrai de vivre, si tu refuses ma main ?
L'arme au poing,le combat qui s'achèvesoulage moins, qu'il n'apporte la fièvre :libérés, la vengeance et les mauxn' apportent rien. Quels fléauxoppressant nos âmes, ouvriraient nos idéaux ?Larme au point,l'écriture qui s'enchainesoulage au moins mes petites peines,fait éclore la joie, et l'espoir que les motsen apôtres du bien, du gentil et du beaupansent nos âmes, éclairant nos idéaux.
Bonne lecture quotidienne
Geoffroy de Pierrepont
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