mercredi

Mon Volcan martinique


Tu es jolie et je suis bête
Affranchie, et moi ton esclave
j'aime tant lorsque tu t'entête,
explosant de volcaniques laves.

Rejoue moi encore cette fête !
Il me plait, que rien n'entrave
tes colères, gentille crevette :
J'aime tant ces grands airs si graves.

Pardonne moi, si un sourire,
vient appuyer mon désir
de te voir, Doudou, continuer :

Quand pour un rien tu t'emporte,
moi, je n'ose jamais espérer...
...qu'une chose :-) Le claquement d'une porte.