Comment survivre encore à l'ignoble supplice,
de l'absence de ton corps, objet de mes délices ?
Je voudrais tes baisers, et puis tant de tendresse,
que jamais ne suffiront les trésors de la Grèce :
Visitant seul le Louvre au milieu des statues,
tous ces dieux froids sans toi, sont d'un ennui qui tue.
mercredi
Tu me manques
Publié par gpierrepont à 09:34