Tu m'agace, m'horripile,
Me hérisse les poils, et je frémis d'angoisse
A l'écoute de cette bile,
Que, sans cesse tu déverses, qui te dépasse,
Et d'aise te comble comme une truie,
Qui dans sa bauge, se vautre et jouit.
De tes odeurs nauséabondes, propos fétides et incomplets,
Il ne me reste au fait,
rien à l'oreille qu'un souvenir, aujourd'hui vague du,
Mépris qui planait lorsque tu t'es tue.
dimanche
Ton haleine
Publié par gpierrepont à 19:25